venerdì, dicembre 12, 2008

La versione francese sul nostro Premier

Le quotazioni in Europa del nostro Premier
QUESTA E’ LA RISPOSTA DEL TUTTO DISINTERESSATA
DA PARTE DELLA STAMPA LIBERA

Un jury de correspondants européens à Bruxelles réuni par La Tribune a désigné
Nicolas Sarkozy comme le meilleur dirigeant européen.
Le quotidien économique a publié son premier "Palmarès EuroTribune" dans son édition du jeudi 11 décembre.
Nicolas Sarkozy arrive en tête, devant Jean-Claude Juncker, le premier ministre luxembourgeois, Gordon Brown, le chef du gouvernement britannique et Angela Merkel, la chancelière allemande.
En fin de liste, on retrouve
Mirek Topolanek (25e), le premier ministre tchèque, qui va prendre la présidence de l'Union européenne (UE) au 1er janvier, suivi de Brian Cowen, son homologue irlandais, qui n'a pas réussi à faire accepter le traité de Lisbonne par ses concitoyens.
Silvio Berlusconi, le président du conseil italien, qualifié par le jury de "trublion imprévisible et égoïste", pointe à la 27e et dernière place.
Le jury était composé de douze journalistes issus de neuf pays différents, et qui travaillent aussi bien pour la presse écrite que pour la radio ou la télévision.
Ils ont tous attribué une note de un a dix sur différents critères, tels que le sens du leadership ou la sincérité de l'engagement européen, mais également sur les réponses apportées à plusieurs grands évènements de l'année 2008 : la
crise financière, le conflit en Géorgie, le traité de Lisbonne et la lutte contre le réchauffement climatique.
Ainsi, si
Nicolas Sarkozy est très bien noté pour son leadership, sa réponse apportée à la crise géorgienne ou de la crise économique, il est largement dépassé par Jean-Claude Juncker en ce qui concerne l'engagement européen, l'esprit d'équipe ou la gestion du traité de Lisbonne.
Le président français a certainement profité d'un calendrier favorable, lui qui a assuré au deuxième semestre la présidence de l'Union europénne.
Quelques surprises sont à noter. Gordon Brown, longtemps considéré comme eurosceptique, se retrouve en troisième position grâce à ses réponses apportées à la crise.
Par ailleurs,
Angela Merkel, après avoir longtemps été considérée comme la chef de gouvernement la plus influente d'Europe, paye son engagement timoré contre la crise ou dans la lutte contre le changement climatique.
L'arrivée en vingt-cinquième position de
Mirek Topolanek montre le niveau de scepticisme des correspondants bruxellois envers la futur présidence du Conseil européen.
La République tchèque est le seul pays de l'UE à ne pas s'être encore prononcé sur le traité de Lisbonne.
Non è, quindi la stampa comunista che riporta queste notizie bensì una stampa libera in un libero Stato



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